Le Premier ministre démontre une fois de plus son engagement indéfectible envers une transition démocratique inclusive. En recevant les juristes du Barreau de Port-au-Prince, Alix Didier Fils-Aimé confirme sa vision d’un processus constitutionnel participatif et transparent, impliquant toutes les forces vives de la nation.

Dans un geste qui témoigne de sa volonté de faire de la réforme constitutionnelle un véritable projet national, le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé a organisé, ce dimanche 1er septembre, une rencontre de haut niveau avec les représentants du Barreau de Port-au-Prince. Cette initiative, qui s’est déroulée en sa résidence officielle, illustre parfaitement l’approche méthodique et inclusive qu’il privilégie pour conduire la transition.

Une démarche exemplaire de consultation

Loin des décisions prises en vase clos, le Chef du Gouvernement a choisi d’écouter les experts juridiques du pays. La commission instituée par le Barreau, représentée par le bâtonnier Me Patrick Pierre-Louis et les juristes chevronnés Me Josué Pierre-Louis et Me Bernard Gousse, a présenté son rapport d’analyse de l’Avant-projet de Constitution.

Cette approche consultative du Premier ministre mérite d’être saluée. Elle démontre sa compréhension profonde qu’une Constitution solide ne peut naître que du dialogue et de la concertation avec les acteurs les plus compétents du pays.

Un leadership visionnaire au service de la nation

En accueillant personnellement cette délégation d’éminents juristes, Alix Didier Fils-Aimé envoie un message fort : son gouvernement ne gouverne pas depuis une tour d’ivoire, mais reste à l’écoute de toutes les expertises disponibles. Cette posture de leader accessible et soucieux du dialogue contraste favorablement avec les pratiques d’exclusion du passé.

Le Premier ministre a d’ailleurs « salué la contribution du Barreau à ce débat d’intérêt national », reconnaissant ainsi l’importance de s’appuyer sur l’expertise juridique nationale pour bâtir l’avenir institutionnel du pays.

Une vision claire pour l’État de droit

Cette rencontre s’inscrit parfaitement dans la philosophie de gouvernance d’Alix Didier Fils-Aimé : « associer les forces vives de la Nation à toute réflexion sur l’avenir institutionnel du pays. » Une approche qui rassure autant les Haïtiens résidant au pays que ceux de la diaspora, inquiets de voir leur patrie sombrer dans l’improvisation constitutionnelle.

En faisant de la question constitutionnelle « une priorité majeure de la Transition », le gouvernement Fils-Aimé démontre sa compréhension des enjeux fondamentaux. Une Constitution solide est effectivement le socle sur lequel repose tout État de droit digne de ce nom.

Un exemple pour la diaspora et la communauté internationale

Cette démarche méthodique du Premier ministre résonne particulièrement fort auprès de la diaspora haïtienne qui, depuis l’étranger, observe avec attention la qualité du processus de transition. Voir un Chef de Gouvernement prendre le temps de consulter les experts avant de prendre des décisions cruciales ne peut que rassurer sur le sérieux de la démarche.

L’engagement « résolu » du gouvernement à faire de cette réforme un projet dans « l’intérêt supérieur du peuple haïtien » témoigne d’une vision qui dépasse les intérêts partisans pour embrasser l’avenir collectif de la nation.

Avec cette rencontre, Alix Didier Fils-Aimé pose les jalons d’une transition exemplaire, fondée sur le dialogue et l’expertise. Dans un pays habitué aux décisions autoritaires et aux consultations de façade, cette approche inclusive du Premier ministre redonne espoir. Les Haïtiens, qu’ils soient au pays ou à l’étranger, peuvent légitimement espérer que cette fois-ci, la réforme constitutionnelle se fera avec eux et pour eux. N’est-ce pas là le véritable sens de la démocratie ?

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