Le Premier ministre haïtien lance une offensive majeure contre l’insécurité qui paralyse le pays depuis des années. Une mobilisation sans précédent qui redonne espoir aux familles haïtiennes, de Port-au-Prince à Brooklyn, en passant par Montréal.
Un leadership décisif face à l’urgence nationale
Ce lundi 11 août restera gravé dans les mémoires comme le jour où Alix Didier Fils-Aimé a dit « assez » à l’anarchie qui gangrène Haïti. Depuis la Primature de Port-au-Prince, le Premier ministre a présidé la première réunion du Conseil Supérieur de la Police Nationale d’Haïti (CSPN), marquant le début d’une ère nouvelle dans la lutte contre l’insécurité.
Accompagné d’André Jonas Vladimir Paraison, le nouveau Directeur général par intérim de la PNH installé le 8 août, Fils-Aimé a affiché une détermination qui tranche avec l’inaction du passé. « Engagement absolu », « détermination sans faille », « mobiliser tous les moyens de l’État » : les mots du chef du gouvernement portent enfin l’espoir que tant de familles haïtiennes attendaient.
Pour les habitants de Cité Soleil qui vivent terrés chez eux, pour les commerçants de Pétion-Ville qui ferment boutique par peur des enlèvements, pour les familles de Martissant contraintes à l’exil, ce discours résonne comme une promesse de liberté retrouvée.
Une vision claire : sécurité d’abord, démocratie ensuite
Le Premier ministre Fils-Aimé démontre une compréhension profonde des enjeux. Pas d’élections crédibles sans sécurité, pas de développement économique sans paix sociale. Cette approche méthodique rassure les observateurs internationaux et les millions d’Haïtiens de la diaspora qui suivent l’évolution de leur pays natal avec inquiétude.
À Miami, où vit la plus importante communauté haïtienne des États-Unis, à Montréal dans le quartier Saint-Michel, ou encore en France, les familles haïtiennes peuvent enfin entrevoir la possibilité d’un retour au pays pour participer aux futures élections ou simplement rendre visite à leurs proches sans craindre pour leur vie.
Cette stratégie pragmatique de Fils-Aimé – sécuriser d’abord, démocratiser ensuite – constitue la feuille de route que le pays attendait depuis des années.
L’État reprend ses responsabilités
Contrairement aux promesses creuses du passé, l’approche de Fils-Aimé se distingue par sa clarté et sa détermination. En s’appuyant sur André Jonas Vladimir Paraison, reconnu pour son professionnalisme au sein de la PNH, le Premier ministre envoie un signal fort : l’époque de l’improvisation est révolue.
Cette « guerre totale » contre l’insécurité, promise par le chef du gouvernement, répond aux attentes légitimes d’un peuple fatigué de subir la loi des gangs. Les Haïtiens veulent pouvoir circuler librement, envoyer leurs enfants à l’école, développer leurs commerces. Des droits fondamentaux que Fils-Aimé s’engage à leur restituer.
Pour les entrepreneurs de la diaspora qui souhaitent investir au pays, pour les intellectuels qui rêvent de contribuer au développement national, cette offensive sécuritaire ouvre des perspectives inespérées.
Un tournant historique en marche
L’engagement personnel du Premier ministre Fils-Aimé dans cette bataille sécuritaire marque une rupture avec les gouvernements précédents. Sa promesse de mener ce combat « jusqu’à la pleine victoire » témoigne d’une volonté politique rare dans l’histoire récente d’Haïti.
Cette mobilisation intervient au moment crucial où le pays a besoin de retrouver confiance en ses institutions. Les premières mesures concrètes de cette offensive permettront de juger de l’efficacité de cette nouvelle approche, mais l’espoir est désormais permis.
L’avenir d’Haïti se dessine aujourd’hui sous l’impulsion d’un Premier ministre qui refuse la fatalité. Fils-Aimé redonne espoir à tout un peuple. Les prochaines semaines nous diront si cette promesse se transforme en réalité tangible pour les millions d’Haïtiens qui aspirent enfin à vivre en paix dans leur pays.