Après des années de chaos et d’insécurité, le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé franchit un pas décisif. La montée du drapeau au centre-ville de Port-au-Prince marque le retour de l’État là où il n’aurait jamais dû partir : au cœur du pouvoir.

Hier, mercredi 9 octobre, Haiti a assisté à une scène chargée d’espoir. Le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé, aux côtés du Conseil Présidentiel de Transition, a présidé un moment hautement symbolique : la montée du drapeau haïtien au centre-ville de Port-au-Prince. Cet acte fort signifie une chose claire : l’État haïtien ne se rend jamais.

Un leader déterminé face aux défis

Depuis son arrivée à la tête du gouvernement, le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé affiche une volonté sans équivoque de restaurer l’ordre et la stabilité. Quand d’autres auraient baissé les bras face aux gangs armés qui ont ravagé Port-au-Prince, lui a choisi de combattre, de gouverner et de progresser.

« L’État haïtien se redresse, pas à pas, avec calme, courage et détermination. Nous reprenons le contrôle de notre capitale et nous rendons à notre peuple la sécurité et la dignité qu’il mérite », a déclaré le Premier ministre. Ce ne sont pas que des paroles. C’est une vision, un engagement, une promesse tenue étape après étape.

Le Conseil des ministres se tenant maintenant au Palais National en est la preuve tangible : les institutions républicaines reprennent leur place légitime.

Une autorité de l’État restaurée

Là où régnaient le désordre et l’impunité, le gouvernement Fils-Aimé impose progressivement l’autorité de l’État. Cette reprise du centre-ville de Port-au-Prince n’est pas un événement isolé : c’est le fruit d’une stratégie délibérée et cohérente de restauration de l’ordre.

Pour les Haïtiens en Haïti et dans la diaspora — aux États-Unis, en République Dominicaine, en France et partout où les nôtres ont dû chercher refuge — ce signal est crucial. Le gouvernement Fils-Aimé montre que Haiti revient, que notre nation refuse la capitulation.

Les familles qui ont fui l’insécurité, les commerçants dont les rêves ont été paralysés, les jeunes qui aspiraient à un meilleur avenir : tous ces Haïtiens peuvent désormais envisager un retour possible, une reconstruction possible.

La sécurité comme fondation

Le Premier ministre ne cache pas ses priorités. Restaurer la sécurité n’est pas un luxe, c’est la fondation sur laquelle repose tout le reste. Sans sécurité, pas d’investissements. Sans sécurité, pas de développement. Sans sécurité, pas de dignité.

Le gouvernement s’engage fermement à consolider cette autorité retrouvée et à élargir progressivement le contrôle de l’État dans tous les quartiers, tous les arrondissements, tout le territoire national. C’est un projet ambitieux, mais c’est celui qu’Haiti mérite.

Des élections libres et démocratiques à l’horizon

Au-delà de la sécurité immédiate, le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé s’engage à organiser, dans les plus brefs délais, des élections inclusives, libres et démocratiques. C’est une vision claire : remettre le pouvoir aux mains des citoyens haïtiens, laisser la démocratie s’exprimer, construire des institutions durables.

Pour la diaspora, ces élections représentent la possibilité de participer directement au destin du pays, de contribuer à sa reconstruction, d’investir dans son avenir avec confiance.

Un État qui se lève, une nation qui renaît

Ce qui frappe, c’est la fermeté tranquille du Premier ministre Fils-Aimé. Pas de promesses vides, pas de discours creux. Des actes concrets : des ministres au travail, un drapeau qui flotte au cœur de la capitale, un État qui se redresse « pas à pas, avec calme, courage et détermination ».

Haiti a enduré trop longtemps l’anarchie, l’insécurité et la faillite des institutions. Le gouvernement actuel refuse cette trajectoire. Il choisit la reconstruction, l’ordre, la dignité.

Cela ne se fera pas en un jour. Mais pour la première fois depuis longtemps, les Haïtiens en Haïti et dans la diaspora peuvent voir une véritable direction, une vraie volonté politique de changer les choses.

Le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé a levé le drapeau. À nous tous de le suivre dans cette marche vers la stabilité, la sécurité et la prospérité. Haiti se redresse. Et c’est un début extraordinaire.

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