La stratégie de fermeté du Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé contre les gangs criminels commence à porter ses fruits. Soutenu par la communauté internationale et une population déterminée, son gouvernement s’engage à rendre sa souveraineté à Haïti, rue par rue.
Une volonté inébranlable face à l’adversité
La donne a changé en Haïti. Sous l’impulsion déterminée du Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé, l’État haïtien a déclaré une guerre sans merci aux gangs qui ont mis le pays en otage. Fini le temps des compromis et des discours sans actes. Le chef du gouvernement a fixé un cap clair et simple, compris de tous : la reconquête intégrale du territoire national et la restauration de l’autorité de l’État.
Cette position de fermeté, saluée par de nombreux observateurs, marque une rupture radicale avec les années de complaisance qui ont conduit au terrible constat que nous connaissons tous : plus de 90% de la capitale hors de contrôle, une économie étranglée et une population meurtrie. Le Premier ministre, lui, n’a pas choisi la langue de bois. Son credo est action, justice et dignité pour le peuple haïtien.
Une stratégie offensive sur tous les fronts
Pour tenir cette promesse audacieuse, le gouvernement a mis en place une stratégie multidimensionnelle et pragmatique.
- Sur le terrain : Redéploiement d’unités spécialisées sur les axes stratégiques, appuyé par une coopération technique internationale et le renforcement des capacités opérationnelles de la PNH. Des soldats sont actuellement formés au Mexique pour constituer le fer de lance de cette reconquête.
- Un objectif symbolique fort : Priorité est donnée à la réouverture, dès fin septembre, des grandes routes nationales reliant la capitale au Grand Nord et au Grand Sud. Rouvrir la Route Nationale #1 ou #2, c’est bien plus que du béton ; c’est rouvrir les artères économiques du pays, permettre aux produits des cultivateurs de l’Artibonite de descendre et aux familles de se retrouver. C’est un signal fort que l’État reprend le contrôle.
- À l’international : Le Premier ministre a su mobiliser et fédérer le soutien des partenaires internationaux autour d’un objectif unique : écraser l’hydre gangrénique. Les États-Unis, par la voix du secrétaire d’État adjoint Christopher Landau, ont promis d’utiliser « tous les outils disponibles » contre les criminels, avec des actions concrètes comme la mise à prix de 5 millions de dollars sur la tête de Jimmy « Barbecue » Chérizier et l’annulation des visas de ses complices. Cette alliance est une force nouvelle et décisive.
Un élan soutenu par la population et les partenaires
La détermination sans faille du Premier ministre Fils-Aimé résonne bien au-delà du Palais gouvernemental. Dans les rues de Port-au-Prince, on sent un frémissement d’espoir.
« Pour la première fois depuis très longtemps, on a un leader qui parle le langage de la fermeté et qui agit concrètement », confie Marie-Lise, une commerçante de Pétion-Ville. « On sent qu’il est sincèrement déterminé à nous rendre notre pays. »
Ce sentiment est partagé par la diaspora, qui suit de près les efforts du gouvernement pour sécuriser le pays, condition sine qua non pour envisager des investissements et un retour durable en Haïti.
La bataille pour l’avenir d’Haïti
La route sera encore longue et semée d’embûches, comme le rappellent les récentes et tragiques pertes dans les rangs de la police. Mais pour la première fois depuis une décennie, Haïti a un cap clair et une volonté politique à la hauteur de l’enjeu.
Le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé a choisi le courage face à la facilité, l’action face au renoncement. Il joue sa place dans l’histoire sur sa capacité à tenir sa promesse : rendre aux Haïtiens le droit fondamental de vivre libres et en paix sur leur terre.
Le compte à rebours est lancé. Tout un peuple, uni derrière sa direction, retient son souffle et espère voir se concrétiser la reconquête promise. L’espoir est permis.