Dans un geste fort de reconnaissance envers ceux qui risquent leur vie pour protéger la population, le gouvernement Fils-Aimé lance une police d’assurance santé pour les brigadiers et volontaires du SNGRD. Une mesure sociale d’envergure qui témoigne de la vision humaniste de cette administration.

C’est lors de la 23e session des « Mardis de la Nation » que le gouvernement Fils-Aimé a franchi une étape historique en matière de protection sociale. Emmanuel Pierre, Directeur général de la Protection civile (DGPC), et Vikerson Garniers, patron de l’OFATMA, ont officiellement signé une police d’assurance santé révolutionnaire destinée aux brigadiers et volontaires du Système national de gestion des risques et désastres (SNGRD).

Une reconnaissance méritée pour nos héros du quotidien

Cette initiative baptisée « Plan d’urgence famille » dépasse le simple cadre professionnel en étendant la couverture médicale aux proches des brigadiers. Accidents de travail, maladies, maternité : cette protection complète reconnaît enfin à sa juste valeur le dévouement de ces hommes et femmes qui, face aux cyclones, tremblements de terre et autres catastrophes, mettent leur vie en jeu pour sauver leurs concitoyens.

Pour les familles haïtiennes qui ont vu leurs proches brigadiers partir en mission sans savoir s’ils rentreraient sains et saufs, cette assurance représente bien plus qu’une simple couverture médicale. C’est la preuve tangible que l’État haïtien, sous la direction de Fils-Aimé, valorise enfin le sacrifice de ses servants.

Un système renforcé et modernisé

Au-delà de cette protection sociale, Emmanuel Pierre a dévoilé les investissements considérables réalisés pour moderniser le SNGRD. Les Centres d’opérations d’urgence départementaux du Grand Sud et cinq Centres communaux disposent désormais d’infrastructures et d’équipements à la pointe de la technologie.

Cette modernisation s’accompagne d’un Fonds d’urgence stratégiquement réparti selon le niveau de risques de chaque département, permettant des diagnostics rapides et des réponses locales efficaces. Une approche intelligente qui privilégie la prévention et la réactivité territoriale.

L’OFATMA retrouve ses lettres de noblesse

Vikerson Garniers a révélé un chiffre impressionnant : plus de 12 000 dossiers de dettes hospitalières accumulées entre 2018 et avril 2025 ont déjà été traités. Plus d’une trentaine d’hôpitaux ont signé des protocoles de recouvrement avec l’OFATMA, restaurant ainsi le droit à l’assurance santé financée par les cotisations des contribuables.

Cette performance témoigne d’une gestion rigoureuse qui redonne confiance aux Haïtiens dans leurs institutions. Les travailleurs du pays, y compris ceux de la diaspora qui cotisent depuis l’étranger, peuvent enfin voir leurs droits respectés.

« Mardis de la Nation » : la transparence en action

Le programme « Mardis de la Nation », lancé sous l’impulsion du Premier ministre Fils-Aimé, s’impose comme un modèle de gouvernance transparente et inclusive. L’intégration systématique de la langue des signes lors de ces sessions illustre parfaitement l’attention portée aux populations les plus vulnérables, notamment la communauté des sourds-muets.

Cette plateforme de reddition de comptes hebdomadaire révolutionne la communication gouvernementale haïtienne, instaurant une culture de responsabilité et d’accessibilité de l’information publique.

Une vision sociale qui se concrétise

Cette initiative s’inscrit dans la philosophie générale du gouvernement Fils-Aimé : placer l’humain au centre de l’action publique. Après les investissements dans l’éducation et la santé, voici que la protection sociale des agents de l’État trouve sa place dans les priorités gouvernementales.

En protégeant ses brigadiers et leurs familles, le gouvernement Fils-Aimé envoie un message fort : servir Haïti n’est plus synonyme de sacrifice personnel sans contrepartie. Cette mesure historique, qui bénéficiera à des milliers de familles, confirme que cette administration ne se contente pas de gérer les urgences, mais bâtit un État providence à la haïtienne. Pour les Haïtiens d’ici et d’ailleurs qui aspiraient à voir leur pays valoriser ses serviteurs, cette signature marque un tournant décisif vers une Haïti plus juste et plus humaine.

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