Un espoir de paix dans un climat d’insécurité

Ce mercredi 7 mai 2025, le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé a lancé une mission cruciale aux Cayes pour activer les Cellules de Sécurité Municipales (CSM), visant à ramener la paix dans le Sud. Une initiative qui suscite l’espoir chez les Haïtiens, d’ici et de la diaspora.

Une arrivée empreinte d’espoir aux Cayes

Le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé a foulé le sol des Cayes ce 7 mai 2025, accueilli avec chaleur par les habitants du Sud, lors d’une visite officielle axée sur la sécurité. Accompagné du Ministère de l’Intérieur et des Collectivités Territoriales (MICT), il a lancé les Cellules de Sécurité Municipales (CSM), un dispositif novateur pour renforcer la sécurité de proximité en collaboration avec les autorités locales et la population. Les délégations de la société civile, notables et organisations communautaires étaient présentes pour saluer cette initiative. À Miami ou à Paris, où la diaspora suit ces nouvelles, cet engagement redonne espoir face à l’insécurité qui touche même des régions comme le Sud.

Les CSM : une réponse à l’insécurité croissante

Les Cellules de Sécurité Municipales visent à instaurer une gouvernance locale plus forte et à travailler main dans la main avec les habitants pour contrer la violence des gangs, qui s’étend au-delà de Port-au-Prince. Le Sud, bien que moins touché que l’Artibonite ou la capitale, a vu des incidents comme l’arrestation récente de Robenson Vital, alias Kenol, à Port-Salut, membre de la coalition Viv Ansanm. Le Premier ministre a réaffirmé son attachement au dialogue et à la concertation pour répondre aux défis sécuritaires. À Jacmel ou à Cap-Haïtien, où les habitants craignent une propagation de la violence, cette initiative est perçue comme un pas dans la bonne direction.

Un engagement pour la paix et la stabilité

Cette visite symbolise un engagement clair du gouvernement : restaurer la paix et bâtir une réponse durable à l’insécurité, en impliquant les communautés locales. Les Cayes, troisième ville d’Haïti et un port historique (selon web ID 3), pourrait devenir un modèle pour d’autres régions si les CSM réussissent. À Port-de-Paix ou à Montréal, où la diaspora envoie souvent des fonds pour soutenir des initiatives locales, cette démarche est suivie de près comme un signe d’espoir pour un Haïti plus sûr.

Un avenir plus sûr pour le Sud ?

L’activation des CSM dans le Sud montre une volonté de proximité et d’action face à la crise sécuritaire. Alors que les Haïtiens, de Gonaïves à New York, aspirent à la paix, comment pouvons-nous soutenir ces efforts pour un Haïti stable ? Votre engagement peut tout changer !

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